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La relève britannique a les crocs. Squid, c’est d’Ollie Judge, Louis Borlase, Arthur Leadbetter, Laurie Nakivell et Anton Pearson. Squid vient de Brighton mais s’est maintenant posé du côté de Londres. Squid aime les assemblages, entre pop psyché, post punk 70’s et krautrock. Mais surtout, Squid, c’est excellent sur scène, une vraie gifle, rappelant que l’esprit punk est toujours bel et bien vivant. La jeunesse britannique est décidément en grande forme.
Fièvre à la française. Des beaux gros riffs psychés et des voix suaves sur une pop 60’s classe et léchée à base de basse bien ronde. Du gros rock qui ose la pop… ou l’inverse. Chanté la plupart du temps en français s’il vous plaît. La musique fiévreuse du couple s’offre la présence d’un quatuor sur scène.
Quelque part entre le Black Rebel Motorcycle Club et The Kills, mais qui auraient mangé Gainsbourg. Puissant et chic, sensuel et un peu poisseux.
Le 4 filles de Kyoto vont droit à l’essentiel. Noise, punk, rock, hardcore… Gros riffs sur chants en japonais et cœurs foutraques. Elles poussent les meubles et ravagent les salles. Un phénomène musical et militant, qui est « le meilleur concert vu en 2019 » selon le programmateur de GéNéRiQ. Argument massue.